IPG Musée Pleyel – Exposition
Gedenktafel vom 16. Juni 1957 |
Le 200ème anniversaire d'Ignaz Joseph Pleyel (16 juin 1957) A l'occasion du 200ème anniversaire d'Ignaz Joseph Pleyel le 16 juin 1957, cette plaque commémorative a été fixé sur la maison natale du compositeur. Malheureusement le nom d' I.J. Pleyel retomba bientôt dans l'oubli. Ceci jusqu'en 1996, année ou l'ancienne école d'Ignaz J. Pleyel, placée directement à cote de la maison natale du futur compositeur, échappa à la démolition. |
Ruine des Pleyel-Geburtshauses |
Pratiquement au dernier moment, le bâtiment dans lequel Pleyel obtint sa première éducation de la part de son père, évita d'être démoli grâce à la Société Internationale Ignaz J. Pleyel (IPG). Une dette considérable est due au président de l'IPG, Adolf Ehrentraud (photo à gauche) ; sans ses efforts infatigables, ce site culturel unique de la Basse Autriche n'existerait plus. |
Beginn der Umbauarbeiten |
L'intérieur de la maison se présentait tristement: Le lieu avait servi en parti comme dépotoir. Pendant les travaux de restauration, les ouvriers trouvèrent aussi les restes de l'ancien charnier. |
Umbauarbeiten |
De l'aide urgente était requise de tous parts. Le directeur du Musée et président de l'IPG y participa de fa[cc]on importante. |
IPG Pleyel-Museum |
Entre 1997 et le 5 septembre 1998 le plus gros des travaux de restauration avait été fait, à la suite de quoi le Musée Pleyel était en état digne de servir de mémorial au compositeur. |
Eröffnung des Pleyel-Museums |
Ouverture du musée le 5 septembre 1998 Remise cérémonielle des clés par le " jeune Ignaz J. Pleyel " (Markus Leutner) au gouverneur de la Basse Autriche, le Dr. Erwin Pröll. |
Dr. Erwin Pröll eröffnet das Museum |
Le gouverneur de la Basse Autriche, le Dr. Erwin Pröll, ouvre le Musée Pleyel nouvellement équipé, le 5 septembre 1998. |
Prominente Gäste im Pleyel-Museum |
Politique culturelle qui maintient l'héritage culturel : Le directeur du Studio Basse Autriche de la Compagnie de Radiodiffusion Autrichienne (ORF), le Dr. Paul Twaroch, le gouverneur de la Basse Autriche et Conseiller Culturel d'Etat, le Dr. Erwin Pröll, le président de l'IPG Adolf Ehrentraud, et le maire de Grossweikersdorf (la municipalité dont Ruppersthal fait partie) dans le Musée Pleyel (de gauche a droite). |
Eröffnungskonzert im Museum |
L'ouvre de Pleyel comme héritage commun de l'Europe: le second à gauche, comme représentant de la nation qui accueillit Pleyel comme un des leurs: le Conseiller Culturel de France Werner Rauch durant la représentation d'un des trios de piano composés à Strasbourg, à l'occasion de l'ouverture du Musée. Au piano le Prof. Hrvoje Jugovic. |
Comment ce bâtiment, qui depuis 1894 n'était plus officiellement une école, devint-il un musée ? Déjà avant la fin de la Deuxième Guerre Mondiale ce bâtiment était utilisé par les troupes d'occupation ; la maîtresse de chorale bien-aimée et méritante, Madame Margarete Mayer, y habitait; pendant un temps même un coiffeur offrait ses services dans ce lieu déplorable. Dans une petite chambre on gardait l'outillage du cimetière. En 1995 ce vieux bâtiment écolier fur mis a la disposition de la Société Dramatique Ignaz Pleyel 1908 (IPT) pour une durée indéterminée, contre un loyer annuel de dix schillings autrichiens (environ 77 Euro-centimes). La municipalité offrit le bâtiment à la Société Internationale Ignaz J. Pleyel (IPG) en 1996. Le gouverneur Dr. Erwin Pröll, attriste devant l'état déplorable du bâtiment écolier historique, approuva une aide immédiate à l'occasion d'une présentation d'un CD sur Pleyel. Le Corps de Construction de la Basse Autriche, représente par son président Manfred Schuster, de l'Ecole de Construction dans le château d'Hainbourg, accepta de prendre en main les travaux de restauration. Les travaux de restauration débutèrent le 30 septembre 1996. Apres quelques 2700 heures de travaux et aux coûts d'environ 1.9 million de schillings autrichiens (environ ? 147,000), le bâtiment était restaure vers la fin de 1998. L'effort a valu la peine ; suivant l'ouverture par le gouverneur, le Dr. Erwin Pröll, et la bénédiction par le Père George Buis, l'unique Musée sur Pleyel en Autriche se présente avec fierté au public. |
Les pianos Pleyel Les deux articles objets de la plus grande fierté de l'exposition, deux pianos Pleyel d'origine, occupent une place centrale du musée: |
Klavier Opus Nr. 1614 |
L'achat du piano à queue a été rendu possible grâce à l'aide financière généreuse du gouvernement de la Basse Autriche. Le piano porte l'indicatif Opus Nr. 1614, fut construit en janvier 1831, mis en vente dans le magasin en avril 1831, et acheté par un Monsieur Biralle en mai 1831 pour 2800 francs. Il a été acheté par la Société Internationale Ignaz J. Pleyel (IPG) pour le musée. |
Le clavier est fait d'ivoire et d'ébène, avec une envergure de six octaves et un quart (C a f'''') ; son couvercle a la forme remarquable d'un quart de cylindre. Le piano dispose d'une mécanique anglaise ; les marteaux sont couverts d'une couche extérieure de velours. La lyre a deux pédales: forte et una corda. Des barreaux en fonte de fer en dessous de la planche de résonance renforcent le cadre de bois. L'instrument est entièrement jouable et a été utilisé pour l'enregistrement de plusieurs CDs, entre autres celui des 19 chants polonais de Chopin interprétés par Young-Hee Cho (soprano) et Christopher Grasser (CD Quantum 6900), et la bande sonore pour le film sur Chopin " La note bleue " (CO Opus 111). La manufacture de pianos a été menée par Auguste Wolff (1821 - 1887), le beau-fils de Camille Pleyel, et ensuite par le beau-fils de Wolff, Gustave Lyon (1857 - 1936). |
Tafelklavier Opus No. 7134 |
Nouvelle acquisition depuis le 1er février 2003 Le piano de table Pleyel d'origine, Opus 7134, nous a été prêté par la Banque Hypo de la Basse Autriche. |
La salle du Musée, à part sa fonction de salle d'exposition, offre en plus une atmosphère favorable aux concerts de musée, entre-temps devenus très populaires, dans lesquels la musique de Pleyel et de ses contemporains est interprétée sur les deux pianos par des artistes renommés, et ainsi présentée de nouveau aux oreilles du monde entier. |